Alors que les échos du débat sur la question de savoir si les députés se sont levés lorsque le président Erdoğan est entré à l'Assemblée générale à l'ouverture du Parlement se sont poursuivis, une évaluation est venue de Mehmet Uçum, vice-président du Conseil présidentiel de politique juridique. Uçum a souligné : « Le respect manifesté en se levant doit être évalué non pas sur les conflits internes de la politique mais sur le « fonctionnement général de l'État » ».
Le débat, qui a débuté après que le leader du CHP Özel et certains députés du CHP se soient levés à l'ouverture du Parlement lorsque le président Erdoğan est entré dans la salle, se poursuit. Le vice-président du Conseil présidentiel des politiques juridiques, Mehmet Uçum, a également participé à cette discussion.
«Le respect manifesté par le fait de se lever ne doit pas être évalué en fonction des conflits internes de la politique actuelle, mais en fonction du 'fonctionnement général de l'Etat', et ce respect doit être manifesté partout. Bien entendu, les dirigeants parlementaires et les autres députés des partis qui soutiennent ou s’opposent au gouvernement mais qui se lèvent et font preuve de respect ont fait ce qu’il fallait. Ce qu’il faut traiter, ce ne sont pas ceux qui agissent correctement, mais ceux qui résistent obstinément à cette justice. Nous pensons que la Grande Assemblée nationale turque parviendra à éliminer ces résistances en créant des traditions fortes.»
Uçum a fait sa déclaration sur son compte de réseau social. Uçum a souligné que se lever et montrer du respect au président signifie 5 choses. Il a souligné que se lever, c'est respecter la volonté nationale, qui est la volonté générale du peuple, la volonté des électeurs, qui est la volonté démocratique du peuple, de l'État et de ceux qui assumeront la présidence de la République. de Turquie, quel que soit le média dans lequel ils sont désormais élus.
Le vice-président du Conseil présidentiel de politique juridique, Uçum, a également souligné que le respect du président est une condition du respect de l'ordre constitutionnel. Il a également rappelé que, selon la constitution, le président se voit confier le rôle de direction du pays.